Un dialogue déséquilibré
La collectivité publique décide, prescrit, finance, évalue une action. Si elle ne peut ou ne veut la conduire en direct elle-même, elle cherche un opérateur, souvent associatif, qui la mènera pour elle, moyennant rémunération. Situation inverse : une association conçoit un projet et se tourne vers une ou des collectivités publiques pour obtenir son financement. Le déséquilibre est là aussi évident car, diront les esprits réalistes, « qui paie commande ». Troisième formule : la collectivité publique rencontre des associations impliquées dans un domaine précis, pu...
La suite de cet article est réservée à nos abonnés
S'abonner c’est :
- Avoir accès à tous les contenus de la Fonda
- Soutenir l'action d'une association indépendante et engagée en faveur du monde associatif